Voila un paragraphe qui aurait dû s'intituler
"C'est toudi l' pu ptit qu'on spotche"
(c'est toujours le plus petit qu'on écrase)
en pensant aux arbustes écrasés lorsque le débardeur hâle les fûts de chêne, ou dans la chute des grands arbres.
Mais il y a un peu de mystère dans les têtes de chêne enchevêtrées, dans la semi-obscurité du sous bois en ces jours d'hiver et de brouillards grisâtres.
Il y a aussi une chaleur dans ces arbres sectionnés, aux couleurs profondes, du brun des chênes sillonnés des cercles centenaires, aux jaunes et rouges des merisiers.
Il n'y a que quelques photos sur le blog, les autres sont à la fin de l'album (cliquer ici)
"C'est toudi l' pu ptit qu'on spotche"
(c'est toujours le plus petit qu'on écrase)
en pensant aux arbustes écrasés lorsque le débardeur hâle les fûts de chêne, ou dans la chute des grands arbres.
Mais il y a un peu de mystère dans les têtes de chêne enchevêtrées, dans la semi-obscurité du sous bois en ces jours d'hiver et de brouillards grisâtres.
Il y a aussi une chaleur dans ces arbres sectionnés, aux couleurs profondes, du brun des chênes sillonnés des cercles centenaires, aux jaunes et rouges des merisiers.
Il n'y a que quelques photos sur le blog, les autres sont à la fin de l'album (cliquer ici)