Comme toujours,
Plus de photos (et définition un peu meilleure) ICI
En cet octobre anormalement sombre et pluvieux, un peu de lumière à travers les feuilles de chêne suscitent l'espoir ...
Et voilà que je déroge à mes règles: manipulation des clichés, en l'occurence une sorte de solarisaiton numérique.
Pourquoi les règles? Tout au début de la photographie numérique (clichés argentiques scannés par Kodak), je me suis amusé à manipuler les photos avec les logiciels rudimentaires de l'époque...un côté amusant (il s'agissait alors de procéder à des opérations algébriques sur les pixels, voire en incluant les pixels de l'image inversée dans l'équation)...mais même à cette époque, cette "facilité" m'a vite lassé (quelques jours).
Par la suite, l'intégrité des photos est devenue un plus grand problème (je ne parle pas ici des manipulations déjà évoquées), avec les ajouts/suppressions ...je me suis interdit de le faire (même ce fil électrique qui barre un arc-en-ciel). Non que cela suffise à éviter la manipulation (un simple choix de cadrage y suffit déjà!), mais question de choix perso.
Par contre, modifier globalement la courbe de lumière, c'est ce qu'on a toujours fait en chambre noire (choix d'un papier doux ou dur, high-key, low-key), sans qu'il y ait de modification locale. Mais par choix en restant dans une courbe "monotone" (càd qu'une zone gris moyen ne peut pas devenir plus sombre qu'un gris foncé, ....)
Par la suite, l'intégrité des photos est devenue un plus grand problème (je ne parle pas ici des manipulations déjà évoquées), avec les ajouts/suppressions ...je me suis interdit de le faire (même ce fil électrique qui barre un arc-en-ciel). Non que cela suffise à éviter la manipulation (un simple choix de cadrage y suffit déjà!), mais question de choix perso.
Par contre, modifier globalement la courbe de lumière, c'est ce qu'on a toujours fait en chambre noire (choix d'un papier doux ou dur, high-key, low-key), sans qu'il y ait de modification locale. Mais par choix en restant dans une courbe "monotone" (càd qu'une zone gris moyen ne peut pas devenir plus sombre qu'un gris foncé, ....)
Cette fois, accident en cours de préparation d'un cliché, grisaille ambiante, voici que je fais exception, en renforçant jusqu'au surréalisme les impressions données par ces feuilles prises à contrejour...
Ce ne sera pas une habitude: on s'en lasse vite, et trop de facilité conduit à un manque de créativité, mais voici le résultat