Premiers frimas, fin novembre, mais soudains: gel, un peu de neige et givre
Sur les hauts de Fourbechies, les moutons cherchent leur nourriture dans l'herbe givrée.
Un nid de frelons asiatiques, abandonné, se révèle après la chute des feuilles, mais déjà les mésanges charbonnières s'apprêtent à le dépecer ...on verra (la comparaison de taille est impressionnante
C'est d'abord un bel objet,
tube d'acier pour la sécurité, corps de fonte , une lumière pour bouter le feu
prises à plus d'un an d'intervalle, les couleurs ne sont pas modifiées, et toutes deux traduisent l'atmosphère de tempête
09_2025
01-2024
Avec du retard, ...voici un article qui aurait dû apparaître en août
Des poires immangeables, mais pas pour tous
Ces poires sauvages, fort précoces, sont moins nombreuses au sol cette année, (car attaquées déjà dans l'arbre).
Elles sont extrêmement astringentes, immangeables crues (mais peuvent se manger cuites ou préservées au vinaigre).
Par contre, guêpes et frelons (ici, asiatiques) se ruent dessus.
On voit même 2 frelons asiatiques se battre, ce qui indique probablement la présence d'au moins 2 nids ....
Re-cadrer, cadrer "large" ou "serré" ?
Les capteurs actuels nous offrent d'énormes possibilités de recadrer (sans modifier la photo),
allant de la vue d'ensemble au détail.
Cadrer large pour montrer le contexte? (comme les fichiers partagés sont de définiton
bien moindre que les originaux, c'est aussi le risque de perdre les détails ...ou alors mettre un fichier "lourd" et recommander de "zoomer" ?
Ou alors, montrer le détail pour suggérer le tout?
Quelques images ci-dessous, plus dans l'album
La cardère remplace avantageusement l'invasif "arbre à papillons"
Le Liseron (des haies ou des champs) est une plante assez humble, rampante, mais capable de monter à l'assaut des buissons, clôtures, jusqu'à les étouffer.
De "simples" photos en "close-up" (càd, que l'on n'atteint pas toujours le rapport 1:1 sur le capteur, mais le résultat est quand même grossi),
ici sans tentative d'augmenter la profondeur de champ par superposition (bien que le sujet s'y prête ...une autre fois)
Ou quelques remarques sur nos pollinisateurs
contexte lu par ailleurs
La question de l'effet des abeilles domestiques sur les pollinisateurs sauvages se pose semble-t-il sérieusement;(voir aussi ) Si les abeilles domestiques sont soumises comme les autres aux pesticides (voire plus, si elles sont inféodées aux cultures intensives), elles bénéficient du soutien des apiculteurs pour assurer une survie d'une année à l'autre. Aux USA notamment, les ruches sont transportées entre états en semi-remorques, quitte à faire face à une mortalité énorme dans certaines cultures (amandiers) . L'accumulation des abeilles domestiques favorise aussi leurs prédateurs, qui s'en prennent également aux autres abeilles.
Un grand accent est mis sur les abeilles domestiques (mellifères), avec parfois la nuance des souches sélectionnées (Buckfast) pour la production de miel, par rapport aux variétés locales (l'abeille noire, protégée à Chimay) (de façon curieuse la campagne utilisant le personnage "maya l'abeille" représente souvent...une guêpe)
Toutefois dans notre expérience à Fourbechies, à proximité de plusieurs ruches voire ruchers, elles ne sont pas dans notre modeste jardin/verger l'élément dominant.
Certes, on les voit aux premières fleurs (crocus, soit très tôt dans la saison), mais dès la floraison du colza, elles disparaissent de chez nous, laissant à d'autres la fécondation des fruitiers en particulier.
On reconnaît les osmies (abeilles solitaires que l'on peut favoriser avec de petits hôtels à insectes. Ils ont toutefois l'inconvénient d'en faire une cible facile des prédateurs, comme nous l'avons observé avec l'ichneumon, dans la photo ci-dessous ), mais aussi divers insectes volants, y compris plusieurs bourdons à l'aspect bourru. (qui forment de petites colonies)
Ici, ce sont maintenant les bourdons qui s'affèrent sur la lavande.
Il ne s'agit pas d'un titre de fable, mais du nom commun (d'après Wikipedia) d'une sorte de punaise inoffensive pour nous qui affectionne les plantes de mauve.
Le nom viendrait d'une similitude de couleurs avec l'uniforme des gendarmes (garde perso des rois de France) , rouge et noir.
Il est aussi l'occasion d'un observation intéressante: une interaction découverte dans les années 60 avec les conifères d'Amérique du Nord, qui suite à une attaque secrète des inhibiteurs de la croissance normale (et le passage à l'état adulte) . référence à l'article original , l'explication en français dans Wikipedia
et les fourmis ...photographiées comme partie du fond...
Au coeur de la Mauve 
